Noémie et le Brésil : un nouveau chapitre s’ouvre !

Oui…. c'est la grande nouvelle d'il y a 10 jours !!!

Une nouvelle qui m'a secouée… qui m'a réjouie et qu'il m'a fallu digérer tellement elle était grande…

Je vais vous raconter tout ce qui s'est passé pour moi ces 10 derniers jours ! Vous avez 10 minutes devant vous ? Je suis bavarde, vous le savez !

C'est parti !

Nous étions le mardi 5 Novembre.

Ce mardi 5 Novembre, j'avais redemandé une séance de coaching avec ma coach Sylvie de PerspeKtives car j'en ressentais le besoin pour avancer. 

Nous commençons la séance, comme d'habitude, tout se passe bien. J'opère déjà de nombreuses prises de consciences différentes, jusqu'à ce que j'arrive sur le fait que je ressentais le besoin de me faire plaisir et de faire un break. J'avais même noté quelques jours auparavant sur mon cahier ceci…

J'avais l'idée d'aller au Cap Vert à la fin de ma formation de coaching, puis je pensais que j'en avais besoin "plus tôt", alors je pensais au Maroc, à Barcelone, à l'Italie…

Et c'est en reformulant tous ces pays que, tout d'un coup, je sens "la chose" arriver… Je sens que quelque chose monte… mon corps comprend tout de suite.. il comprend ce que j'ai envie / besoin de dire à ce moment là… et là les larmes commencent à couler… en quantité… 

Je sais que ma coach à compris elle aussi, sans que je n'ai encore rien dit. Oui, on attend toutes les deux le même mot… Gentiment elle me dit que si je n'ai pas envie de dire, je ne suis pas obligée.

Et là, au milieu des larmes je m'affirme : "Si, si, je vais le dire, justement, il faut que ça sorte" !

Oui, il fallait que ça sorte… que je libère le mot, après toutes les émotions liées à ce mot, que je fasse un chemin pour que le mot sorte du milieu de mon corps, de mon coeur peut-être ? Je l'avais tellement enfoui, caché peut-être.

Mais pas caché dans le sens de, je n'y repense pas souvent. Mais caché dans le sens de : je ne m'autorise pas à y retourner. 

Oui, le mot qui veut sortir de moi ce moment là et que j'ai besoin de prononcer c'est le mot :

Brésil…

J'ai fini par le dire !!! Waou ! Et là, qu'est-ce que c'est ? Un choc ? Un soulagement ? Un bonheur ? Je crois que c'est tout en même temps. C'est beaucoup de choses pour moi. 

– un choc : un choc de voir à quel point je m'étais empêchée de repenser à la possibilité de retourner au Brésil et d'y retourner seule. A quel point, je ne m'autorisais pas à envisager un nouveau voyage un jour, simplement pour me faire plaisir.

– un soulagement : qu'enfin cela sorte, de moi, que je m'y autorise. Une libération en quelque sorte de voir quelque chose qui semblait bien derrière les barreaux, s'autorise à en sortir pour aller goûter au bonheur du dehors.

– un bonheur car le Brésil me met automatiquement des paillettes dans les yeux, de la vibration dans mon corps, du sourire, de l'envie, du plaisir. 

Tout comme une ancienne relation longue restera toujours gravée en vous, un pays dans lequel vous avez habité longuement en sera tout autant. Oui le Brésil fait partie de moi et il me fait vibrer. 

Oui pendant ce coaching c'est tout cela qui se passe pour moi. A ce moment là, c'est certain, je sais que je vais y retourner. Je viens de m'y autoriser et de reprendre conscience de tout cela. Or chez moi, une fois que tout devient plus claire, la mise en action derrière ne traîne pas en général !

Oui bien sûr que c'est rouvrir aussi un lien avec mon passé. Mais peut-être que j'en ai besoin ! 

En réalité, ces derniers mois, le sujet de mon départ du Brésil en 2015 était déjà ressorti à deux reprises sur les sujets que je vais vous évoquer maintenant. Une fois avec ma soeur fin Juin dernier, et une autre fois lors d'un déjeuner avec un coach au mois d'Octobre. Deux moments forts qui avaient fait ressortir le sujet Brésil tour à tour. Quelques jours avant, j'avais eu une pensée sur le fait que j'avais du mal avec cette période : l'automne… et la pensée suivante… :"mais c'est que l'automne c'est la période de mon retour du Brésil" qui a enchaîné sur celle-ci "c'est le début de la fin" ! C'était le début de la fin de ma relation. Des connotations donc plutôt négatives pour moi en lien avec ce passé brésilien/retour. Ce sont aussi toutes ces choses qui ont préparé le terrain à ma séance de coaching et à cette libération qui peut se réaliser quand tout est à point. J'avais fait mûrir le sujet, j'étais prête ! Ça devait être le moment !

En lien avec ce passé et mon départ du Brésil en Octobre 2015 : je vois deux choses importantes :

– j'ai quitté le Brésil en octobre 2015, soit un an avant mon objectif initial, qui était de travailler pour les J0 2016, mon rêve à l'époque. D'ailleurs, au final, nous nous étions séparés entre temps avec mon ex copain, en Mars 2016. J'aurai donc pu retourner travailler pour les JO au Brésil, juste pour l'opérationnel des événements (sans la préparation). Je me souviens y avoir pensé, mais je ne m'y suis pas autorisée. "J'étais rentrée… je n'allais pas y retourner tout de suite !!" Et puis finalement j'ai réussi à travailler pour l'Euro 2016 en France ! Je pensais y avoir trouvé peut-être une équivalence… mais quand même… ce n'était pas le Brésil…

– Je suis rentrée en France, un an plus tôt donc que ce que j'envisageais, pour ex copain qui ne voulait pas continuer au Brésil. Était-ce réellement mon choix ? Je le pensais. Je croyais y avoir trouvé mon compte dans cette décision de retour pour lui. Je me disais que j'allais rentrer un an après, (après les JO donc), ça je le savais, je le sentais, j'en avais marre des embouteillages ! hahah! Je me disais que un an plus tôt "c'était pareil" ! Je me disais que j'avais eu ma Coupe du Monde, je pouvais me passer des JO ! J'avais déjà eu ce que je voulais ! Ces 2 raisons ont guidées ma décision de rentrer. Je pensais donc avoir décidé de rentrer vraiment autant pour lui que pour moi. Je me suis aussi dit "à l'époque, lorsque l'on s'est rencontrés, j'avais choisi ma vie professionnelle au Brésil et il m'a alors suivi". Là, j'avais encore un choix à faire entre vie pro et vie perso (le mieux est lorsque l'on a jamais besoin de faire ce choix !!) et du coup, cette fois-ci j'ai voulu choisir ma vie perso.

Néanmoins, je savais déjà avant de rentrer en France que la situation était critique dans ma relation. Mais j'ai forcé. J'ai eu besoin de le voir jusqu'au bout. J'ai eu besoin de rentrer pour lui (et aussi pour moi), pour me faire vivre une crise d'eczéma monumentale de la tête au pied pour prendre la décision de me séparer… alors que cette décision, j'aurai surement pu la prendre avant de décider de rentrer avec lui, pour lui. J'avais déjà tous les éléments.

Mais je ne regrette pas. Je ne regrette rien. Mon chemin était celui-là. Je croyais en ma relation. J'avais envie que ma relation avance, j'avais envie d'y croire. Croire que ça pouvait marcher avec celui que je croyais pouvoir être l'homme de ma vie. Cette année là, j'ai choisi ma relation. J'en suis heureuse. Mon retour, cette séparation, m'a fait arriver là où j'en suis aujourd'hui. Je le remercie, je me remercie. L'émotion monte. 

Hier mon chemin était celui que je viens de vous exposer.

Aujourd'hui, mon chemin est celui-là ! Celui d'y retourner pour réparer cette blessure de départ rapide du Brésil, de fermeture en avance par rapport à mes projets de ce que je pensais être un livre alors qu'en fait ce n'était qu'un chapitre.

Mon premier voyage sera donc un voyage pour moi, pour me reconnecter avec ce dernier chapitre, et vivre la transition avec le chapitre d'après. Je veux me reconnecter avec ce pays, ses gens, ses paysages, ses musiques, ses danses, mes amies, mes plaisirs, mes sensations. 

Je ne suis plus en couple, alors je me choisis. (Et je continuerai à essayer de me choisir autant, dorénavant, en couple également).

Mais là, je sens aussi profondément que c'est le moment présent qui se joue avec cette révélation. La force d'un moment présent que je n'oublierai jamais. Une intensité que je ressens dans ton mon corps. Une intensité du moment qui est à la hauteur de ce que cette révélation représente pour moi. Ma coach le ressens aussi je pense.

Et, en même temps que ce passé et ce présent, c'est aussi et enfin le futur qui s'invite à la table. En effet, c'est la perspective non pas uniquement de vacances prochaines, une unique fois qui se trame, mais plutôt la perspective d'un avenir dans lequel le Brésil sera peut-être présent dans le paysage pour longtemps. La force de ce moment le sais. Mon corps le sait. Je le sais. Il y a plus que le simple fait d'avoir sorti le mot Brésil de ma bouche. 

Oui, tout de suite, je pense au fait que j'ai envie de construire une vie professionnelle qui ait des liens avec le Brésil et plus largement peut-être aussi l'Amérique du Sud et les autres pays du monde. Oui, c'est mon parcours international (mes voyages & mes langues : portugais, espagnol, anglais, italien) que je suis en train de réouvrir en conscience. Oui c'est la "Moi internationale" qui est en train de renaître après 4 années passés en France et peut-être un peu trop françaises !  

J'y avais déjà pensé à maintes reprises, mais sans jamais oser y croire vraiment au fond de moi. J'en avais un tout petit peu parlé à des amis mais avec quelque chose plutôt de l'ordre du "pour rire", de l'idée qui ne se concrétisera jamais…

Alors que là, ça s'ouvre et je sais que c'est cela qui s'ouvre : le deuxième volet de ma nouvelle vie professionnelle avec Une ESCALE en vous.

Oui, organiser des week-ends d'ESCALE, des vacances d'ESCALE (j'ai déjà pleins d'idées), coacher des Brésiliens habitant au Brésil ou en France ou des Français habitant au Brésil ou plus largement des expatriés de toutes origines et dans tous les pays, accompagner des entreprises internationales avec des problématiques liées à ce sujet : oui tout ça me donne de la banane, du pep's, de l'envie au plus profond de moi. Oui, une semaine après ma séance de coaching, j'étais déjà au téléphone, un samedi à 20h (!), avec un ami possédant une pousada à Atins pour mon idée de vacances d'ESCALE, que j'ai déjà pour l'été 2020, dans le désert magnifique des Lençois Maranhenses ! 

Les 3 espaces temps sont réunis : passé, présent, futur. Ils ont émergé ensemble hors de moi.

Le premier volet est français, le deuxième volet est Brésilien/International.

Oui, il était l'heure de l'ouvrir ce volet, pour y voir plus clair. Dans mon appartement, j'ai 2 fenêtres, et je vous assure que c'est tout de suite beaucoup plus lumineux quand les deux volets sont ouverts !

M'autoriser ce mot BRÉSIL m'a fait OUVRIR tellement de choses !

C'est un moment très fort qui restera gravé en moi. 

Je sors de cette séance de coaching encore un peu sous le choc, ne réalisant pas forcément encore l'ampleur… ne m'autorisant pas encore forcément à être heureuse pleinement… 

Car c'est en réalité, un RÊVE que je suis en train de révéler au grand jour. C'est un nouveau rêve en lien avec le Brésil. Après le rêve de travailler pour les JO 2016, c'est :

Le rêve d'Une escale en vous au Brésil (et plus largement à l'international).

Celui-là, je vais essayer de le réaliser !

Oui, c'est un rêve que j'avais surement bien caché en moi, que je refoulais surement de part sa grandeur et son importance pour moi. Car oui, ce rêve est très grand ! C'est un grand pays, une grande distance entre nos deux pays, c'est un grand projet professionnel qui peut se mettre en place… C'est sacrément fou ! Est-ce que ce n'est pas un peu trop grand comme rêve pour moi ? Est-ce raisonnable ? Est-ce que je vais être à la hauteur de ce grand rêve ? Est-ce que je vais oser démarrer ce grand rêve ? Vous êtes sûrs ? 

Oui, c'est un rêve que j'avais surement bien caché, peut-être aussi parce qu'une fois un rêve révélé… il faut y aller ?! Oui, car une fois les choses identifiées, comme je vous l'ai dit, je suis plutôt du genre à y aller, à trouver la volonté pour m'y amener, à oser, à me donner les moyens d'y arriver. Du coup, faut-il vraiment le révéler ? Ma soeur l'a fait pour moi il y a quelques jours, sur un groupe Whatsapp des participants du dernier week-end d'ESCALE que j'ai organisé… elle leur a révélé ce qui venait de se passer pour moi… pour que je ne puisse plus faire demi-tour… Elle a eu raison ! Je la remercie.

Oui, à cet instant précis, c'est un rêve qui est en train de prendre forme, il se construit devant me yeux réellement, consciemment. Il me donne envie ce rêve. Mais vais-je oser ? 

Aussi parce qu'avec les premières pensées qui font suite à cette prise de conscience de ce rêve qui est là devant moi et qui me fait de l'oeil, des peurs arrivent… La peur de l'insécurité Brésilienne revient assez vite, j'en ai fait les frais une fois intensément, je n'ai pas vraiment envie que ça recommence. La peur de la situation politique actuelle qui n'est plus du tout la même de celle de l'époque. 

Mais, en réalité, je crois que je n'arrive même pas à trouver plus de peurs, et ces peurs, je les minimise assez vite : je ne passerai pas ma vie dans les grandes villes, et je garde confiance.  

Non, il s'agit plutôt d'appréhender petit à petit toutes les facettes que ce grand rêve entraîne avec lui.

C'est plutôt un besoin de temps de digestion de la taille de ce rêve et de sa forme. Un besoin d'acceptation, un besoin d'autorisation que je ressens depuis 10 jours… 

J'ai d'ailleurs eu des problèmes de digestion pendant une semaine. Aujourd'hui ça à l'air d'aller mieux. Peut-être parce que j'avais besoin de révéler ce sujet par cet article et ne plus le cacher…

Oui, avec ce rêve, ce sont des choses qui se transforment.

Avant, c'était uniquement le Brésil pendant 6 ans. Puis ça a été, uniquement la France pendant 4 ans. Là, je suis en train d'ouvrir le fait que je peux avoir en réalité : les deux en même temps ! Waou ! Mais c'est immense ça : je peux RÉUNIR les deux pays en même temps dans ma vie ! C'est quelque chose que je ne m'étais encore jamais autorisée à voir ni à avoir. Oui ma vie de rêve, ma vie prochainement sera peut-être faite de 2 ou 3 voyages par an au Brésil, 2 ou 3 mois par an, je n'en sais encore rien, mais j'ai cette intuition…

J'ai besoin de temps pour visualiser cela… Enfin, j'ai surtout besoin de temps pour sortir de l'ancienne image que j'avais de ma vie professionnelle : "tu seras assise derrière ton bureau de 9h à 18h du Lundi au Vendredi"… Alors que je suis une femme de terrain…! Mais ma dernière expérience professionnelle à Grenoble a été tellement résumée à cela à la fin, que j'ai encore du mal à accepter qu'elle se passe autrement. Or là, avec cette nouvelle image de ma vie professionnelle qui est en train de se dessiner dans ma tête, ce n'est même pas un pas que je fais pour m'éloigner de cette image, c'est carrément UN GRAND ÉCART !!! C'est une nouvelle image totalement opposée à ce que j'imaginais, à ce que la société nous laisse à penser ! 

C'est une image de RÊVE quoi !   

Et quand je fais ça, quand je RÉUNIS les deux pays en même temps dans ma nouvelle vie professionnelle, je fais rentrer la RÉUNION dans la boucle. L'île de la Réunion, cette île de mon enfance qui m'a forgée cette ouverture… Oui c'est peut-être cette île aujourd'hui qui m'autorise à réunir les deux pays que j'aime, comme j'aime réunir les gens. Et là, les larmes montent en écrivant cela…

RÉUNION = BRÉSIL + FRANCE !

BRÉSIL + FRANCE = RÉUNION !

Une belle équation gagnante, qui résume très joliment mon parcours, les 3 pays que j'aime et mes envies présentes et futures.

Une dernière chose que je voulais aborder avec vous aujourd'hui. La réponse à cette question :

Et si je n'avais pas fait cette séance de coaching, quand est-ce que je serai retournée au Brésil ?

En fait, il s'avère que j'attendais un nouvel homme dans ma vie… je me disais que bien sûr j'y retournerai pour lui faire connaître le Brésil, car ce pays fait partie de moi. En attendant… et bien je passais à côté de mes envies à moi. Mes envies profondes.

Mais qu'est-ce que j'ai à attendre que quelqu'un me permette de me faire plaisir, me permette de vivre mes rêves ? J'avais déjà identifié ça au moment de partir en vacances cet été… Tétanisée d'être seule… car oui à deux, les destinations se choisissent plus facilement, cela me permettait peut-être de moins avoir à faire un choix, à savoir profondément ce que je voulais… Je me suis habituée à ça, peut-être, avec ma dernière relation, mais en réalité : je me suis perdue dans ça.

Aujourd'hui, oui ce n'est pas confortable de devoir désapprendre des mécanismes que j'ai mis en place. Ça me force à revenir vers qui je suis véritablement, quelles sont mes envies, mes rêves, à MOI, et pas de l'autre, ni du couple. Ça me force à me connaître d'avantage. Ce n'est pas toujours ni tous les jours facile, mais ça fait du bien. Je suis contente de pouvoir avoir cette période célibataire où je reviens à moi, à qui je suis, à ce que je veux, ce que j'aime, ce qui me fait du bien, ce qui me fait plaisir, à mes rêves, pour qu'ensuite je puisse garder ma ligne à côté de celle du prochain homme avec qui je construirai quelque chose, qui pourra lui aussi garder sa ligne. Et ces deux lignes avanceront parallèlement, sans que l'un fusionne dans l'autre et se perde dedans…  

Voilà, vous savez tout ! Oui cet article j'avais besoin de l'écrire. Pour moi, pour mettre les choses à plat, ça me fait du bien. Pour acter. Pour ancrer. Pour révéler, cette fois-ci vraiment, AU GRAND JOUR ! Pour ne plus pouvoir faire demi-tour 🙂 

J'avais besoin d'écrire cet article aussi peut-être pour vous embarquer avec moi. Car oui, ce rêve comme je l'ai dit est un peu fou et j'ai pris conscience cette semaine du fait que j'avais besoin d'être soutenue. J'ai besoin d'entendre vos soutiens et non vos peurs. Moi, au fond de moi, je sais que TOUT EST POSSIBLE. Ce serait même ma mission de vie : divulguer à tous que tout est possible. Je dois donc aussi l'expérimenter pour moi-même, et je sens, qu'en ce commencement d'Une escale en vous France-Brésil, j'ai besoin de votre soutien, de vos encouragements, de vos bons mots. 

Parce que j'avance sur tous mes projets… vraiment… J'ai pris les billets pour mon premier voyage il y a 3 jours ! Un formidable cadeau que je m'offre pour la fin de ma formation de coaching, pour m'offrir des vacances bien méritée sur ce chemin intense d'une nouvelle vie professionnelle à la hauteur de ses rêves, sur un parcours entrepreneurial tout nouveau pour moi, mais aussi et surtout pour me faire plaisir tout simplement, car c'est un pays qui me le rend très bien, ce plaisir. 

J’atterrirai à São Paulo le 12 Février pour 3 semaines au Brésil, avec un retour de Sao Paulo le 29 Février ! Je n'en reviens même pas !

Je pense faire un triangle de São Paulo, en passant par le parc naturel de la Chapada dos Guimarães près de Cuiaba, puis le Carnaval à Rio, avant de rentrer à São Paulo. 

J'ai eu l'idée de créer un événement Facebook pour que l'information de ma venue , la communication et l'organisation de mon voyage soit plus facile. Pour que ceux qui auraient envie de boire une caïpirinha ensemble, j'ai hâte ! Car ce serait avec un immense plaisir de mon côté.

J'ai hâte. Tellement hâte.

Brasil, Brasileiros, Franceses no Brasil: ESTOU CHEGANDO!

Noémie et le Brésil : un nouveau chapitre s'ouvre !

Je vous embrasse bien fort et vous fait bien sûr aussi un énorme abraço !

Je remercie ma coach Sylvie pour son accompagnement. J'aime le cadre que le coaching offre, le fait que ce soit une personne plutôt neutre pour nous, le fait que cet accompagnement nous permet d'arriver plus vite à nos envies en nous faisant lever les freins. Essayez, vous verrez !

Je remercie ma soeur Christelle pour ces belles illustrations et son soutien de chaque instant.

Avec qui je suis et mes rêves les plus fous, 

Noémie